Le club d'Al-Ahly a demandé à la fédération égyptienne de football de soumettre une demande urgente à la confédération africaine du football, pour accueillir le match final de la Ligue des champions de la CAF, sur la base du retrait du Sénégal de la course à l'organisation, qui devrait être annoncé il y a quelque temps, conformément au principe de transparence pour que les autres pays puissent s'appliquer à sa place.
Mais, cela n'est pas fait jusqu'à la décision de la CAF d'attribuer l'organisation du match à un stade particulier vu que c'est la seule offre qu'ils ont reçu.
Pour la deuxième année consécutive, ce stade accueillera le même événement, ce qui est incompatible avec la justice et le principe d'égalité des chances entre les quatre équipes qui jouent les demi-finales du tournoi.
Un club en particulier deviendra le seul bénéficiaire de la décision de la CAF et jouera la finale "si qualifié" dans son stade et avec ses supporteurs ce qui contredit les règles du fair-play.
Cette demande vient de la Fédération égyptienne de la part du club Al-Ahly qui n'était pas contacté d'aucune partie à cet égard lorsque les fédérations ont soumis leurs demandes d'accueillir la finale.
Dans la même lettre, Al-Ahly a renouvelé sa demande précédente de fournir rapidement au club une "photocopie" de toutes les correspondances envoyées et reçues de et vers la Fédération égyptienne et la Confédération Africaine concernant l'organisation du match susmentionné.
Al-Ahly a souligné la nécessité de le soutenir dans cette affaire et de lui fournir tous les documents, y compris les lettres envoyées par la fédération égyptienne, demandant que le match final se déroule dans un stade neutre ainsi que les courriers reçus par la fédération de la CAF lors de l'annonce du début de la soumission des fédérations pour organiser la finale et les conditions afin d'utiliser tous ces documents dans la plainte qu'Al-Ahly se soumettra au Tribunal Arbitral du sport dans les prochaines heures.